En octobre dernier, les communautés indigènes zapatistes faisaient à nouveau raisonner leur pensée au travers de différents Communiqués du Comité clandestin révolutionnaire indigène-commandement général de l’Armée zapatiste de libération nationale.
Une montagne en haute Mer
Ils·elles ont écouté et vu l’horreur des féminicides, la nature blessée, les possibles guerres à venir. Comme pour l’ensemble des mondes, elles·ils ont eu à affronter le virus, et entre l’argent et la Vie, ont choisi la Vie. Depuis tant d’années de lutte, ils·elles écoutent et observent les résistances et les rébellions, dénonçant le train mortel du « progrès » qui avance vers le précipice et l’abîme.